Location ou vente : c’est la réglementation. On ne peut pas faire l’impasse sur le DDT (dossier de diagnostic technique). Véritable carnet de santé d’un logement, ce document permet d’informer en toute transparence les preneurs ou les locataires de l’état d’un immeuble. Il peut empiler jusqu’à une dizaine de diagnostics immobiliers… Obligatoires selon la nature de la transaction, du type de bien...
L’importance des diagnostics
Pour la mise en location ou la mise en vente, le bien immobilier concerné passe un certain nombre de vérifications pour composer le dossier de diagnostics techniques. Mille et un critères sont évalués au travers de différents diagnostics pour renseigner les futurs locataires ou acheteurs sur l’état du logement en question. L’objectif ? Pouvoir choisir son futur lieu de vie en toute connaissance de cause. Qu’il s’agisse d’une location ou encore d’une vente, la liste des diagnostics immobiliers obligatoires est la suivante :
- Le DPE ou diagnostic de performance énergétique
- L’état de l’installation électrique et de gaz
- Le diagnostic amiante
- L’état relatif à la présence de termites ou de mérules
- L’état des risques et pollutions ou ERP
Le diagnostic est-il obligatoire ?
Pour la vente ou encore la location, les diagnostics immobiliers doivent être fournis de manière obligatoire par les propriétaires. Que la transaction s’effectue avec l’intervention d’un professionnel ou seul, le code de la construction et de l’habitation doit être respecté de manière impérative. Les différents rapports obtenus par des experts immobiliers sont réunis dans le DDT (dossier de diagnostics techniques) consultable lors des visites du logement. À noter que ces documents sont annexés également au contrat de location, au compromis ou à la promesse de vente.
